CIBA ou LA QUÊTE DU PAYS-MYSTÈRE (suite)
Jean-Pierre Fillion

PETIT SUPPLÉMENT INTERPRÉTATIF ET PÉDAGOGIQUE

Texte légèrement modifié par rapport à l'original


Les pages suivantes vous sont suggérées comme complément scientifique et historique du conte. Elles vous aideront à mieux apprécier votre prochaine visite de ce merveilleux petit paradis. Bien qu'elles aient été synthétisées pour ne pas trop étirer la lecture de l'ouvrage, leurs informations vous procureront une foule de renseignements sur le relief, son origine et sa toponymie, sur la flore maritime et ses habitats de prédilection ainsi que sur la faune terrestre et marine et sa répartition dans les divers milieux naturels.

Les noms de plantes et d'animaux vous sont donnés à titre indicatif; il ne s'agit évidemment que d'une mince sélection de ce que vous réserve ce pays à l'atmosphère si particulière.

Une des caractéristiques majeures du parc du Bic, sa faible taille, ne signifie en rien qu'on puisse le visiter vraiment en une seule journée! Au contraire; à cause de sa configuration géographique accidentée, il offre une multitude de petits coins naturels à explorer les uns après les autres, sans se presser, au rythme du vent, assez pour occuper agréablement plusieurs "beaux après-midi"

À vous de vérifier cette affirmation!

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UN RELIEF AUX NOMS ORIGINAUX

Dans la toponymie officielle du parc, les formes du relief ont des noms parfois évocateurs, parfois descriptifs ou parfois légendaires mais, à coup sûr, tous aussi originaux les uns que les autres.

Parlons sommairement de l'origine de ce relief. Il a été formé par des sédiments (vase, sable ou composés divers) qui se sont superposés au fil des millénaires, solidifiés sous de colossales pressions et transformés en roche "sédimentaire" (formée de sédiments).

Après que d'extraordinaires forces terrestres aient "plié" ce relief pour façonner montagnes et collines, la mer et, dans un moindre degré, le vent ont amorcé leur lent mais inexorable travail d'érosion et de transport de sédiments, donnant naissance aux plages et tombolos. Le rongement continuel des vagues est aussi responsable de la formation des falaises, d'où la pente escarpée des montagnes du parc sur leur face maritime. Enfin, le jeu du gel et du dégel a aidé à fracturer la roche, provoquant ainsi des éboulis plus ou moins importants qui surviennent encore aujourd'hui, occasionnellement.

Il y a environ 4O OOO ans, le territoire actuel du parc ne comptait que trois petites îles, la mer étant 4OO mètres plus haute qu'aujourd'hui! Depuis, le continent s'est relevé et la mer s'est retirée; les îles d'autrefois sont devenues les sommets montagneux d'aujourd'hui. Les falaises éloignées du littoral actuel, comme celle du Pic Champlain, sont donc les témoins de l'érosion passée de la mer...

Dans l'histoire de Ciba, la formation du relief est racontée sous une forme plus imagée; c'est un conte, après tout! Il vous appartient évidemment de faire la part entre le conte et la réalité. De plus, les noms "officiels" n'ont pas été utilisés, mais il y a d'amusants rapprochements à faire. Pour vous aider un peu, voici page par page les noms interprétés des sites que Ciba visite, croise ou aperçoit au fur et à mesure de sa progression dans le Pays-Mystère. Une carte-dépliant agrémentera sûrement votre recherche; il y en a aux postes d'accueil du parc.

Si vous êtes parents ou enseignants-es, pourquoi ne pas inviter vos jeunes à faire eux-mêmes ces rapprochements! Cela les préparera mieux à leur visite du parc, ou du moins les tiendra occupés quelques temps!

L'Île du Massacre
Facilement accessible, mais attention aux heures de marées et aux roches glissantes. Le travail de la mer y est surprenant!

Le Cap aux Corbeaux
En souvenir du lendemain du drame de l'Île du Massacre, alors que les Corbeaux tournoyaient au-dessus des corps des victimes.

La grotte de l'Île-au-Massacre
Peu avant l'arrivée de Cartier, un groupe d'Amérindiens Micmacs y auraient été piégés et massacrés.

L'Île Brûlée
Un feu l'aurait ravagée jadis. Certains l'appellent aussi Île Ronde, à cause de sa forme.

Le Cap Enragé
Le vent du nord-est, le "Nordet", y fait furieusement battre les vagues. Toute la presqu'île du Cap Enragé est une zone de préservation extrême.

Le tombolo du Cap Enragé
Un tombolo, qui relie une ancienne île au continent, est formé par l'accumulation des sédiments par la mer et le vent. Il y a plusieurs tombolos dans le parc. Repérez-les sur la carte!

Le Cap Caribou
Un Caribou y aurait été tué, alors que cette espèce était encore présente dans la région. Elle n'occupe de nos jours que le parc de la Gaspésie, le "Pays-des-Montagnes-de-Roche-et-des-Eaux-Cristallines".

L'Anse aux Bouleaux
En raison de l'abondance de bouleaux. A l'ouest du tombolo, l'Anse des pilotes servait jadis de refuge à leurs petites embarcations, par fort vent d'est.

L'Île à D'Amours
Du nom d'un ancien propriétaire. Certains l'appellent l'île aux Amours, d'après certaines rumeurs... La "flèche de sable" qui la relie au rivage à marée basse est un tombolo en formation.

Le Dos de Baleine
Petit récif à proximité de l'Île à D'Amours en forme de dos de baleine.

L'anse de la Rivière du Sud-Ouest
Cette rivière, qui arrive du sud-ouest, abrite une petite population de Saumon atlantique. La pêche y était jadis fructueuse, mais réservée à certains privilégiés.

L'Anse à l'Orignal
Voir: Cap à l'Orignal. Comme dans l'Anse des pilotes, les phoques y sont souvent nombreux.

La Pointe aux Épinettes
Les Épinettes noires y sont nombreuses.

Le récif de l'Orignal
Voir: Cap à l'Orignal.

Les anses à Wilson, à Damase et à Voilier
Du nom d'anciens propriétaires de chalets ou de leur activité préférée.

L'Ile Ronde
Elle paraît ronde, vue du sol.

L'anse à Rioux
Du nom d'un ancien cultivateur.

Le "trou" du Cap Rioux
Cavité naturelle située à mi-hauteur, dans la falaise sud du "Cap Rioux" (entre l'Anse à Rioux et l'Anse à Wilson).

Les Îlots d'Écosse et d'Angleterre
Petits îlots rocheux baptisés par les jeunes du camp de vacances. On y observe des enchevêtrements de plusieurs types de formations rocheuses.

Le Chocolat
Ainsi baptisé par les jeunes du camp, il ressemble à un chocolat "Cherry Blossom", vu du camp, c'est-à-dire de l'ouest. Mais vu du nord, du sentier des Anses par exemple, le Chocolat aurait plutôt une allure de... dinosaure couché.

Le marais salé
Riche écosystème à la flore particulière et à la faune typique situé à l'est du Chocolat.

La faille du Mont Chocolat
Bien visible de l'Anse à Rioux, elle aurait été produite par un affaissement géologique.

La petite grotte du Mont Chocolat
Facilement accessible par la plage.

L'Île aux Canards
Ses rivages sont fréquentés entre autres par les canards Eiders.

L'abris sous roche (ou grotte) du Cap Rioux
Dû à l'éboulement de blocs de roche de la falaise nord du cap. Il est accessible par l'Anse à Damase. Il vaut mieux y pénétrer avec prudence, ou avec quelqu'un qui le connaît bien.

L'Anse aux Cochons, ou Baie des Cochons
Des porcs d'un cultivateur de l'époque s'y seraient noyés.

Le tombolo de la Montagne à Michaud
Site du camp de vacances Louis-Georges Lamontagne, du nom de son fondateur, et d'un ensemble de chalets aujourd'hui disparus.

La Baie du Ha! Ha!
Nom tiré d'une légende voulant que la houle chante une berceuse à un enfant noyé dans cette baie. On dit aussi que le nom serait tiré de l'exclamation d'émerveillement de ses découvreurs.

L a pinède de la Montagne à Michaud
Écosystème déconcertant peuplé exclusivement de Pin gris, la montée et le panorama en valent vraiment la peine.

L'Anse à Capelans
Les Capelans viennent y frayer au printemps.

L'Ilet au Flacon
Un pirate y aurait marqué l'emplacement d'un trésor à l'aide de tessons de flacons de verre...

Le lac à Crapauds
Aussi appelé Lac Carré, à cause de sa forme... rectangulaire!

La Montagne des Moutons
Un fermier y faisait paître ses moutons.

Les Murailles
Dû à l'aspect infranchissable de ces falaises, vues du large.

Le Pic Champlain
En honneur du passage du fondateur de Québec. Le panorama y est superbe et la montée plutôt aisée.

La Fourche à Louison
Du nom d'un habitant qui s'y serait construit une petite cabane.

L'Anse à Mouille-Cul
Les contrebandiers, venant y débarquer leur cargaison illicite, échouaient leurs chaloupes dans la baie. Lorsqu'ils sautaient à l'eau, elle leur arrivait au...

Le Cap à l'Orignal
Un Orignal poursuivi par un chasseur serait tombé de la falaise. Cap-à-l'Orignal est aussi le nom donné à l'ensemble du territoire du parc du Bic par les plus anciens.

L'Île du Bic
Autrefois protection contre les tempêtes, elle procurait aussi eau fraîche, nourriture et bois de réparation aux équipages. Comme la Bicquette, cette île est à l'extérieur des limites du parc du Bic.

L'Île Bicquette
Abrite la plus importante colonie d'Eiders à Duvet d'Amérique. Un des plus anciens phares du Saint-Laurent y est encore en opération. On voit bien cette île du Pic Champlain, ou encore du belvédère Raoul Roy, à Saint-Fabien-sur-Mer.

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ET QUE DIRE DE LA FLORE...

Diversifiée dans ses couleurs, subtile dans ses parfums, particulière dans sa distribution, forte dans sa résistance aux éléments, la flore du parc regroupe les variétés habituellement rencontrées ailleurs dans des milieux semblables. Cependant, encore une fois, la faible taille du territoire et son relief varié ajoutent à la richesse de cette flore; autant de variété sur un si petit territoire, voilà une des particularités végétales du parc!

Notons également, fait presque unique, que certaines parties du parc du Bic, de par leur avancement prononcé dans la mer et leur exposition aux conditions climatiques extrêmes, renferment des espèces végétales nordiques, qui ne poussent habituellement que dans la toundra du Grand Nord. Une flore arctique-alpine en plein estuaire du Saint-Laurent, voilà une autre particularité végétale du parc!

Dans son périple, Ciba remarque ou goûte à plusieurs espèces de plantes qui, à cause d'exigences de vie assez précises, ne poussent que sous des conditions très particulières d'ensoleillement, de nature du sol, de tolérance à la salinité, de résistance aux marées, de besoin en eau douce et d'exposition au vent marin. À cause de ces préférences individuelles, toutes les plantes d'une même espèce ne seront donc présentes qu'en des endroits semblables. Voilà donc, selon leur milieu de vie habituel, le nom de ces plantes avec, entre parenthèses, quelques appellations plus populaires.

Sur les tombolos, il n'est pas rare de rencontrer le suret Genévrier commun, la populaire Airelle à feuilles étroites (Bleuet) et le succulent Fraisier de Virginie (Fraise des champs).

Sur les falaises ou rochers, on admire la tubuleuse Primevère laurentienne et l'agitée Campanule à feuilles arrondies (Clochette).

En milieu rocailleux ou caillouteux, on croise la coriace Mertensie maritime , la délicieuse Livèche écossais e (Persil de mer), la réduite Gesse maritime (Pois de mer), l'éclatante Potentille ansérine (Feuille d'argent) et, plus en retrait du littoral, la superbe Ancolie du Canada (Gants de Notre Dame) et le parfumé Rosier sauvage (Églantier).

L'élégant Élyme des sables (Foin de grève) préfère quant à lui la bordure des plages. Sur un cap rocheux, face à la mer, l'odorante Camarine noire (Raisin de Corneille) affronte les éléments.

Dans le marais salé, on retrouve plusieurs espèces différentes de solides Spartines (Foin de mer), parsemées de tendres Limonies de Nash (Lavande de mer), de symétriques Glaux maritimes (Herbe au lait) et de délectables Arroches hastées (Hallebarde). La changeante Salicorne d'Europe est présente également dans les zones dénudées, rocailleuses ou vaseuses du littoral.

Dans la zone des marées, c'est le domaine des algues. D'abord les algues brunes comme les glissants Fucus (Varech) et les longs Laminaires (Fouet). Ensuite les algues vertes comme la ressemblante Ulvée sombre (Laitue de mer). Finalement les algues rouges comme la recherchée Mousse d'Irlande (Lichen de mer). L'allongée Zostère marine (Herbe à Outardes), bien qu'elle vive dans l'eau salée comme les algues, est bel et bien une plante de type terrestre.

Notez que l'histoire de Ciba présente ces plantes tantôt en fleurs, tantôt en fruits. Il est évidemment presque impossible de retrouver ces étapes différentes de croissance en un même moment de la saison, à moins d'être... dans un conte!

La flore maritime est un des éléments dominants du parc. Ce qui ne laisse souvent que peu de place à l'appréciation de sa flore terrestre, forestière ou aquatique. Cette dernière n'en est pas moins diversifiée et intéressante mais, dans le cadre de l'histoire d'une tortue marine, il a fallu se limiter à la flore... maritime!

Mentionnons tout de même que le parc abrite un bel éventail d'écosystèmes terrestres, de la bétulaie à la cédrière, de l'érablière à la pinède, de la prairie à la pessière, en passant bien sûr par le lac et la rivière.

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... TANT D'OPPORTUNITÉS POUR LA CONTEMPLATION !

Contrairement aux animaux, les plantes demeurent là où elles sont lorsqu'on les approche; leur observation est donc plus facile! Il est cependant intéressant, et parfois fort utile, d'en savoir plus sur elles avant même d'aller les admirer. Il existe plusieurs publications très accessibles en librairie et en bibliothèque qui brossent une description complète des végétaux en nature. À la lecture, vous apprendrez à identifier l'habitat préféré de la plante recherchée, sa période de floraison ou de fructification, son degré de comestibilité etc. Vous serez donc mieux équipé dans votre exploration, parce que vous saurez à quoi vous attendre en arrivant en bordure de la grève, du marais etc.

Il est primordial de respecter l'intégrité de la flore du parc, parce qu'il abrite des espèces très fragiles. La cueillette de plantes est strictement interdite, peu importe l'espèce; c'est un parc de conservation, après tout! Cependant, la cueillette de fruits (ex: fraises, bleuets, mûres, groseilles) est permise, parce qu'elle ne met pas en danger la plante. Quoiqu'il en soit, il est avisé de bien s'informer auprès des autorités du parc avant de partir à l'aventure.

Et le parc du Bic, c'est bien plus encore...

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UNE FAUNE À LA JONCTION DE DEUX MONDES, TERRESTRE ET MARITIME

La faune du parc est assez représentative de ce coin de pays. Dans un si petit territoire, il est intéressant de retrouver une telle diversité, grâce surtout à la rencontre des milieux terrestre et maritime. Lors d'une promenade dans le parc, les oiseaux sauront capter plus facilement notre attention mais, en étant attentif et parfois patient, on pourra admirer plusieurs mammifères.

Dans son périple, Ciba rencontre plusieurs représentants de cette faune et nous révèle un de leurs traits caractéristiques. Les voici selon leur habitat, avec entre parenthèses quelques noms populaires:

En milieu terrestre, on peut voir le criard Grand Corbeau , le nocturne Hibou moyen-duc (Chouette), le tapageur Pic chevelu , la discrète Gélinotte huppée (Perdrix), le mélancolique Pinson à gorge blanche (Petit Frédéric), la cristalline Grive solitaire et le fulgurant Faucon pèlerin . Il y a aussi le dandinant Porc-épic , le sautillant Lièvre d'Amérique , la joufflue Marmotte commune (Siffleux), l'habile Écureuil roux et le malin Renard roux . L'imposant Élan d'Amérique (Orignal) est beaucoup plus fréquent dans le Haut-Pays que dans le parc, et l'agile Caribou des bois est disparu de la région peu après le début du siècle pour se réfugier dans la Gaspésie montagneuse.

En arrivant sur le littoral, on peut croiser le chamailleur Goéland argenté , l'élancé Grand Héron , l'efficace Balbuzard (Aigle-pêcheur), le théâtral Pluvier kildir , l'acrobate Bécasseau maritime et le patient Bihoreau à couronne noire (Couac). Ajoutons plusieurs coquillages, dont le minuscule Macoma calcaire (Petite "clam"), l'agrippée Patelle (Chapeau chinois) et la coupante Balane (Petit volcan).

Plus on avance vers la mer, on aperçoit le social Eider à duvet , le symbolique Huart à collier , le sous-marin Cormoran à aigrettes et le siffleur Garrot à oeil d'or . N'oublions pas le sympathique Phoque commun et le massif Phoque gris (Loup marin).

Et en pleine mer, on remarque surtout le curieux Petit Pingouin (Gode) et le contrastant Guillemot à miroir . Sont aussi présents des poissons tels le courageux Capelan argenté ;, la piquante Petite poule de mer Atlantique , la coriace Anguille d'Amérique , la tranquille Morue Atlantique , le méconnu Crapeau de mer et tout au fond des invertébrés comme la vorace Étoile de mer , le renommé Buccin commun (Bourgot), l'abondant Oursin vert , le clopinant Crabe de roche , l'étrange Pêche de mer , la filtreuse Éponge de mer , l'enfoui Couteau droit , le bizarre Concombre de mer et l'épanouie Anénome plumeuse (Oeillet de mer). Et que dire des baleines qui viennent de temps à autres près de la côte, comme le fanfaron Petit Rorqual (Gibbard) et le sympathique Béluga (Petit marsouin).

Et le parc du Bic, c'est bien plus, et bien plus encore...

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ET TANT DE QUESTIONS...

Vous pouvez présenter ces animaux aux enfants d'une manière participative. Voici des questions qui vous aideront à éveiller la curiosité des jeunes et les amener à la découverte de la faune du parc.


- Que fait le Cormoran sur un rocher, les ailes ouvertes?
- Pourquoi le Hibou a-t-il deux grandes oreilles sur la tête?
- Quel type de nourriture mangent les Goélands?
- Est-ce seulement le Caribou mâle qui porte les bois?
- Pourquoi le Héron doit-il nous quitter pour l'hiver?
- Quelle est la tactique de pêche du Héron?
- Pour quelle raison le Saumon remonte-t-il sa rivière?
- Quelles sont les protections du Phoque contre l'eau glacée?
- De quelle manière le Balbuzard attrape-t-il son poisson?
- Comment le Faucon atteint-il de si grandes vitesses?
- Dans quel genre d'endroit niche le Faucon?
- Où les Huarts font-ils leur nid?
- Donnez un exemple du menu des Eiders.
- Pourquoi les Eiders regroupent-ils leurs familles?
- Que fait le Pluvier pour éloigner les intrus de son nid?
- Quels oiseaux font des acrobaties aériennes en groupe?
- Quel autre oiseau, cousin du Héron, voit-on dans le marais?
- Qu'est-ce les Porc-Épics aiment ronger?
- Que viennent faire les Capelans sur la plage?
- Donnez la forme de quelques animaux marins?
- La baleine respire-t-elle à l'aide de poumons?
- Pourquoi les baleines viennent-elles dans notre estuaire?
- Nommer une baleine qui demeure ici à l'année.
- Est-ce que les Pingouins volent?
- Nommer quatre mammifères qui vivent dans le parc.
- Où a-t-on plus de chances de rencontrer un Orignal?
- Nommer deux oiseaux chanteurs du parc.
- Où les Eiders font-ils leur nid?

Il est bon de rappeler que l'observation de ces animaux, et de tous les autres du parc, doit se faire dans le respect de leur tranquillité.

Et si la recherche dans les volumes vulgarisés ou scientifiques sur la nature marine vous intéresse, ou captive vos jeunes, ou si vous avez l'opportunité de croiser un guide-naturaliste du parc, voilà quelques suggestions de questions à se poser:

- De quelle manière une Étoile de mer mange-t-elle une moule?
- Y a-t-il des Pingouins qui nichent dans la région?
- Y a-t-il des méduses dans les eaux du parc?
- A quelle vitesse peut nager un Rorqual commun?
- Une Pêche de mer, est-ce que ça se mange?
- À quoi ressemble une Macreuse?
- De quelle manière l'Anémone capture-t-elle ses proies?
- Comment différentier le Phoque commun du Phoque gris?
- L'Oursin vert est-il carnivore ou végétarien?
- À l'automne, les Eiders migrent-ils vers le sud, ou le nord?
- Comment le Couteau droit s'enfouit-il dans la vase?




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Du même auteur, quelques sites complétant la découverte du Pays-Mystère.