Les pages suivantes vous sont suggérées comme complément
scientifique et historique du conte. Elles vous aideront à mieux
apprécier votre prochaine visite de ce merveilleux petit paradis. Bien
qu'elles aient été synthétisées pour ne pas trop
étirer la lecture de l'ouvrage, leurs informations vous procureront une
foule de renseignements sur le relief, son origine et sa toponymie, sur la
flore maritime et ses habitats de prédilection ainsi que sur la faune
terrestre et marine et sa répartition dans les divers milieux naturels.
Les noms de plantes et d'animaux vous sont donnés à titre
indicatif; il ne s'agit évidemment que d'une mince sélection de
ce que vous réserve ce pays à l'atmosphère si
particulière.
Une des caractéristiques majeures du parc du Bic, sa faible taille, ne
signifie en rien qu'on puisse le visiter vraiment en une seule journée!
Au contraire; à cause de sa configuration géographique
accidentée, il offre une multitude de petits coins naturels à
explorer les uns après les autres, sans se presser, au rythme du vent,
assez pour occuper agréablement plusieurs "beaux après-midi"
À vous de vérifier cette affirmation!
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UN RELIEF AUX NOMS ORIGINAUX
Dans la toponymie officielle du parc, les formes du relief ont des noms parfois
évocateurs, parfois descriptifs ou parfois légendaires mais,
à coup sûr, tous aussi originaux les uns que les autres.
Parlons sommairement de l'origine de ce relief. Il a été
formé par des sédiments (vase, sable ou composés divers)
qui se sont superposés au fil des millénaires, solidifiés
sous de colossales pressions et transformés en roche
"sédimentaire" (formée de sédiments).
Après que d'extraordinaires forces terrestres aient "plié" ce
relief pour façonner montagnes et collines, la mer et, dans un moindre
degré, le vent ont amorcé leur lent mais inexorable travail
d'érosion et de transport de sédiments, donnant naissance aux
plages et tombolos. Le rongement continuel des vagues est aussi responsable de
la formation des falaises, d'où la pente escarpée des montagnes
du parc sur leur face maritime. Enfin, le jeu du gel et du dégel a
aidé à fracturer la roche, provoquant ainsi des éboulis
plus ou moins importants qui surviennent encore aujourd'hui, occasionnellement.
Il y a environ 4O OOO ans, le territoire actuel du parc ne comptait que trois
petites îles, la mer étant 4OO mètres plus haute
qu'aujourd'hui! Depuis, le continent s'est relevé et la mer s'est
retirée; les îles d'autrefois sont devenues les sommets montagneux
d'aujourd'hui. Les falaises éloignées du littoral actuel, comme
celle du Pic Champlain, sont donc les témoins de l'érosion
passée de la mer...
Dans l'histoire de Ciba, la formation du relief est racontée sous une
forme plus imagée; c'est un conte, après tout! Il vous appartient
évidemment de faire la part entre le conte et la réalité.
De plus, les noms "officiels" n'ont pas été utilisés, mais
il y a d'amusants rapprochements à faire. Pour vous aider un peu, voici
page par page les noms interprétés des sites que Ciba visite,
croise ou aperçoit au fur et à mesure de sa progression dans le
Pays-Mystère. Une carte-dépliant agrémentera
sûrement votre recherche; il y en a aux postes d'accueil du parc.
Si vous êtes parents ou enseignants-es, pourquoi ne pas inviter vos
jeunes à faire eux-mêmes ces rapprochements! Cela les
préparera mieux à leur visite du parc, ou du moins les tiendra
occupés quelques temps!
L'Île du Massacre
Facilement accessible, mais attention aux heures de marées et aux roches
glissantes. Le travail de la mer y est surprenant!
Le Cap aux Corbeaux
En souvenir du lendemain du drame de l'Île du Massacre, alors que les
Corbeaux tournoyaient au-dessus des corps des victimes.
La grotte de l'Île-au-Massacre
Peu avant l'arrivée de Cartier, un groupe d'Amérindiens Micmacs y
auraient été piégés et massacrés.
L'Île Brûlée
Un feu l'aurait ravagée jadis. Certains l'appellent aussi Île
Ronde, à cause de sa forme.
Le Cap Enragé
Le vent du nord-est, le "Nordet", y fait furieusement battre les vagues. Toute
la presqu'île du Cap Enragé est une zone de préservation
extrême.
Le tombolo du Cap Enragé
Un tombolo, qui relie une ancienne île au continent, est formé par
l'accumulation des sédiments par la mer et le vent. Il y a plusieurs
tombolos dans le parc. Repérez-les sur la carte!
Le Cap Caribou
Un Caribou y aurait été tué, alors que cette espèce
était encore présente dans la région. Elle n'occupe de nos
jours que le parc de la Gaspésie, le
"Pays-des-Montagnes-de-Roche-et-des-Eaux-Cristallines".
L'Anse aux Bouleaux
En raison de l'abondance de bouleaux. A l'ouest du tombolo, l'Anse des pilotes
servait jadis de refuge à leurs petites embarcations, par fort vent
d'est.
L'Île à D'Amours
Du nom d'un ancien propriétaire. Certains l'appellent l'île aux
Amours, d'après certaines rumeurs... La "flèche de sable" qui la
relie au rivage à marée basse est un tombolo en formation.
Le Dos de Baleine
Petit récif à proximité de l'Île à D'Amours
en forme de dos de baleine.
L'anse de la Rivière du Sud-Ouest
Cette rivière, qui arrive du sud-ouest, abrite une petite population de
Saumon atlantique. La pêche y était jadis fructueuse, mais
réservée à certains privilégiés.
L'Anse à l'Orignal
Voir: Cap à l'Orignal. Comme dans l'Anse des pilotes, les phoques y sont
souvent nombreux.
La Pointe aux Épinettes
Les Épinettes noires y sont nombreuses.
Le récif de l'Orignal
Voir: Cap à l'Orignal.
Les anses à Wilson, à Damase et à Voilier
Du nom d'anciens propriétaires de chalets ou de leur activité
préférée.
L'Ile Ronde
Elle paraît ronde, vue du sol.
L'anse à Rioux
Du nom d'un ancien cultivateur.
Le "trou" du Cap Rioux
Cavité naturelle située à mi-hauteur, dans la falaise sud
du "Cap Rioux" (entre l'Anse à Rioux et l'Anse à Wilson).
Les Îlots d'Écosse et d'Angleterre
Petits îlots rocheux baptisés par les jeunes du camp de vacances.
On y observe des enchevêtrements de plusieurs types de formations
rocheuses.
Le Chocolat
Ainsi baptisé par les jeunes du camp, il ressemble à un chocolat
"Cherry Blossom", vu du camp, c'est-à-dire de l'ouest. Mais vu du nord,
du sentier des Anses par exemple, le Chocolat aurait plutôt une allure
de... dinosaure couché.
Le marais salé
Riche écosystème à la flore particulière et
à la faune typique situé à l'est du Chocolat.
La faille du Mont Chocolat
Bien visible de l'Anse à Rioux, elle aurait été produite
par un affaissement géologique.
La petite grotte du Mont Chocolat
Facilement accessible par la plage.
L'Île aux Canards
Ses rivages sont fréquentés entre autres par les canards Eiders.
L'abris sous roche (ou grotte) du Cap Rioux
Dû à l'éboulement de blocs de roche de la falaise nord du
cap. Il est accessible par l'Anse à Damase. Il vaut mieux y
pénétrer avec prudence, ou avec quelqu'un qui le connaît
bien.
L'Anse aux Cochons, ou Baie des Cochons
Des porcs d'un cultivateur de l'époque s'y seraient noyés.
Le tombolo de la Montagne à Michaud
Site du camp de vacances Louis-Georges Lamontagne, du nom de son fondateur, et
d'un ensemble de chalets aujourd'hui disparus.
La Baie du Ha! Ha!
Nom tiré d'une légende voulant que la houle chante une berceuse
à un enfant noyé dans cette baie. On dit aussi que le nom serait
tiré de l'exclamation d'émerveillement de ses découvreurs.
L
a pinède de la Montagne à Michaud
Écosystème déconcertant peuplé exclusivement de Pin
gris, la montée et le panorama en valent vraiment la peine.
L'Anse à Capelans
Les Capelans viennent y frayer au printemps.
L'Ilet au Flacon
Un pirate y aurait marqué l'emplacement d'un trésor à
l'aide de tessons de flacons de verre...
Le lac à Crapauds
Aussi appelé Lac Carré, à cause de sa forme...
rectangulaire!
La Montagne des Moutons
Un fermier y faisait paître ses moutons.
Les Murailles
Dû à l'aspect infranchissable de ces falaises, vues du large.
Le Pic Champlain
En honneur du passage du fondateur de Québec. Le panorama y est superbe
et la montée plutôt aisée.
La Fourche à Louison
Du nom d'un habitant qui s'y serait construit une petite cabane.
L'Anse à Mouille-Cul
Les contrebandiers, venant y débarquer leur cargaison illicite,
échouaient leurs chaloupes dans la baie. Lorsqu'ils sautaient à
l'eau, elle leur arrivait au...
Le Cap à l'Orignal
Un Orignal poursuivi par un chasseur serait tombé de la falaise.
Cap-à-l'Orignal est aussi le nom donné à l'ensemble du
territoire du parc du Bic par les plus anciens.
L'Île du Bic
Autrefois protection contre les tempêtes, elle procurait aussi eau
fraîche, nourriture et bois de réparation aux équipages.
Comme la Bicquette, cette île est à l'extérieur des limites
du parc du Bic.
L'Île Bicquette
Abrite la plus importante colonie d'Eiders à Duvet d'Amérique. Un
des plus anciens phares du Saint-Laurent y est encore en opération. On
voit bien cette île du Pic Champlain, ou encore du
belvédère Raoul Roy, à Saint-Fabien-sur-Mer.
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ET QUE DIRE DE LA FLORE...
Diversifiée dans ses couleurs, subtile dans ses parfums,
particulière dans sa distribution, forte dans sa résistance aux
éléments, la flore du parc regroupe les variétés
habituellement rencontrées ailleurs dans des milieux semblables.
Cependant, encore une fois, la faible taille du territoire et son relief
varié ajoutent à la richesse de cette flore; autant de
variété sur un si petit territoire, voilà une des
particularités végétales du parc!
Notons également, fait presque unique, que certaines parties du parc du
Bic, de par leur avancement prononcé dans la mer et leur exposition aux
conditions climatiques extrêmes, renferment des espèces
végétales nordiques, qui ne poussent habituellement que dans la
toundra du Grand Nord. Une flore arctique-alpine en plein estuaire du
Saint-Laurent, voilà une autre particularité
végétale du parc!
Dans son périple, Ciba remarque ou goûte à plusieurs
espèces de plantes qui, à cause d'exigences de vie assez
précises, ne poussent que sous des conditions très
particulières d'ensoleillement, de nature du sol, de tolérance
à la salinité, de résistance aux marées, de besoin
en eau douce et d'exposition au vent marin. À cause de ces
préférences individuelles, toutes les plantes d'une même
espèce ne seront donc présentes qu'en des endroits semblables.
Voilà donc, selon leur milieu de vie habituel, le nom de ces plantes
avec, entre parenthèses, quelques appellations plus populaires.
Sur les tombolos, il n'est pas rare de rencontrer le suret
Genévrier
commun, la populaire
Airelle à feuilles étroites
(Bleuet) et le
succulent
Fraisier de Virginie
(Fraise des champs).
Sur les falaises ou rochers, on admire la tubuleuse
Primevère
laurentienne
et l'agitée
Campanule à feuilles arrondies
(Clochette).
En milieu rocailleux ou caillouteux, on croise la coriace
Mertensie maritime
,
la délicieuse
Livèche écossais
e (Persil de mer), la
réduite
Gesse maritime
(Pois de mer), l'éclatante
Potentille
ansérine
(Feuille d'argent) et, plus en retrait du littoral, la superbe
Ancolie du Canada
(Gants de Notre Dame) et le parfumé
Rosier sauvage
(Églantier).
L'élégant
Élyme des sables
(Foin de grève)
préfère quant à lui la bordure des plages. Sur un cap
rocheux, face à la mer, l'odorante
Camarine noire
(Raisin de Corneille)
affronte les éléments.
Dans le marais salé, on retrouve plusieurs espèces
différentes de solides
Spartines
(Foin de mer), parsemées de
tendres
Limonies de Nash
(Lavande de mer), de symétriques
Glaux
maritimes
(Herbe au lait) et de délectables
Arroches hastées
(Hallebarde). La changeante
Salicorne d'Europe
est présente
également dans les zones dénudées, rocailleuses ou
vaseuses du littoral.
Dans la zone des marées, c'est le domaine des algues. D'abord les algues
brunes comme les glissants
Fucus
(Varech) et les longs
Laminaires
(Fouet).
Ensuite les algues vertes comme la ressemblante
Ulvée sombre
(Laitue de
mer). Finalement les algues rouges comme la recherchée
Mousse d'Irlande
(Lichen de mer). L'allongée
Zostère marine
(Herbe à
Outardes), bien qu'elle vive dans l'eau salée comme les algues, est bel
et bien une plante de type terrestre.
Notez que l'histoire de Ciba présente ces plantes tantôt en
fleurs, tantôt en fruits. Il est évidemment presque impossible de
retrouver ces étapes différentes de croissance en un même
moment de la saison, à moins d'être... dans un conte!
La flore maritime est un des éléments dominants du parc. Ce qui
ne laisse souvent que peu de place à l'appréciation de sa flore
terrestre, forestière ou aquatique. Cette dernière n'en est pas
moins diversifiée et intéressante mais, dans le cadre de
l'histoire d'une tortue marine, il a fallu se limiter à la flore...
maritime!
Mentionnons tout de même que le parc abrite un bel éventail
d'écosystèmes terrestres, de la bétulaie à la
cédrière, de l'érablière à la pinède,
de la prairie à la pessière, en passant bien sûr par le lac
et la rivière.
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... TANT D'OPPORTUNITÉS POUR LA CONTEMPLATION !
Contrairement aux animaux, les plantes demeurent là où elles sont
lorsqu'on les approche; leur observation est donc plus facile! Il est cependant
intéressant, et parfois fort utile, d'en savoir plus sur elles avant
même d'aller les admirer. Il existe plusieurs publications très
accessibles en librairie et en bibliothèque qui brossent une description
complète des végétaux en nature. À la lecture, vous
apprendrez à identifier l'habitat préféré de la
plante recherchée, sa période de floraison ou de fructification,
son degré de comestibilité etc. Vous serez donc mieux
équipé dans votre exploration, parce que vous saurez à
quoi vous attendre en arrivant en bordure de la grève, du marais etc.
Il est primordial de respecter l'intégrité de la flore du parc,
parce qu'il abrite des espèces très fragiles. La cueillette de
plantes est strictement interdite, peu importe l'espèce; c'est un parc
de conservation, après tout! Cependant, la cueillette de fruits (ex:
fraises, bleuets, mûres, groseilles) est permise, parce qu'elle ne met
pas en danger la plante. Quoiqu'il en soit, il est avisé de bien
s'informer auprès des autorités du parc avant de partir à
l'aventure.
Et le parc du Bic, c'est bien plus encore...
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UNE FAUNE À LA JONCTION DE DEUX MONDES, TERRESTRE ET MARITIME
La faune du parc est assez représentative de ce coin de pays. Dans un si
petit territoire, il est intéressant de retrouver une telle
diversité, grâce surtout à la rencontre des milieux
terrestre et maritime. Lors d'une promenade dans le parc, les oiseaux sauront
capter plus facilement notre attention mais, en étant attentif et
parfois patient, on pourra admirer plusieurs mammifères.
Dans son périple, Ciba rencontre plusieurs représentants de cette
faune et nous révèle un de leurs traits caractéristiques.
Les voici selon leur habitat, avec entre parenthèses quelques noms
populaires:
En milieu terrestre, on peut voir le criard
Grand Corbeau
, le nocturne
Hibou
moyen-duc
(Chouette), le tapageur
Pic chevelu
, la discrète
Gélinotte huppée
(Perdrix), le mélancolique
Pinson
à gorge blanche
(Petit Frédéric), la cristalline
Grive
solitaire
et le fulgurant
Faucon pèlerin
. Il y a aussi le dandinant
Porc-épic
, le sautillant
Lièvre d'Amérique
, la joufflue
Marmotte commune
(Siffleux), l'habile
Écureuil roux
et le malin
Renard
roux
. L'imposant
Élan d'Amérique
(Orignal) est beaucoup plus
fréquent dans le Haut-Pays que dans le parc, et l'agile
Caribou des bois
est disparu de la région peu après le début du
siècle pour se réfugier dans la Gaspésie montagneuse.
En arrivant sur le littoral, on peut croiser le chamailleur
Goéland
argenté
, l'élancé
Grand Héron
, l'efficace
Balbuzard
(Aigle-pêcheur), le théâtral
Pluvier kildir
, l'acrobate
Bécasseau maritime
et le patient
Bihoreau à couronne noire
(Couac). Ajoutons plusieurs coquillages, dont le minuscule
Macoma calcaire
(Petite "clam"), l'agrippée
Patelle
(Chapeau chinois) et la coupante
Balane
(Petit volcan).
Plus on avance vers la mer, on aperçoit le social
Eider à duvet
,
le symbolique
Huart à collier
, le sous-marin
Cormoran à aigrettes
et le siffleur
Garrot à oeil d'or
. N'oublions pas le sympathique
Phoque
commun
et le massif
Phoque gris
(Loup marin).
Et en pleine mer, on remarque surtout le curieux
Petit Pingouin
(Gode) et le
contrastant
Guillemot à miroir
. Sont aussi présents des poissons
tels le courageux
Capelan argenté
;, la piquante
Petite poule de mer
Atlantique
, la coriace
Anguille d'Amérique
, la tranquille
Morue
Atlantique
, le méconnu
Crapeau de mer
et tout au fond des
invertébrés comme la vorace
Étoile de mer
, le
renommé
Buccin commun
(Bourgot), l'abondant
Oursin vert
, le clopinant
Crabe de roche
, l'étrange
Pêche de mer
, la filtreuse
Éponge
de mer
, l'enfoui
Couteau droit
, le bizarre
Concombre de mer
et
l'épanouie
Anénome plumeuse
(Oeillet de mer). Et que dire des
baleines qui viennent de temps à autres près de la côte,
comme le fanfaron
Petit Rorqual
(Gibbard) et le sympathique
Béluga
(Petit marsouin).
Et le parc du Bic, c'est bien plus, et bien plus encore...
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ET TANT DE QUESTIONS...
Vous pouvez présenter ces animaux aux enfants d'une manière
participative. Voici des questions qui vous aideront à éveiller
la curiosité des jeunes et les amener à la découverte de
la faune du parc.
Il est bon de rappeler que l'observation de ces animaux, et de tous les autres
du parc, doit se faire dans le respect de leur tranquillité.
Et si la recherche dans les volumes vulgarisés ou scientifiques sur la
nature marine vous intéresse, ou captive vos jeunes, ou si vous avez
l'opportunité de croiser un guide-naturaliste du parc, voilà
quelques suggestions de questions à se poser: